Magie d’Internet et bel exemple de suivi pédagogique, j’ai reçu un mail de protestation (d’outre-tombe ?) de mon institutrice de maternelle, consternée par le billet précédent et exprimant sa profonde pitié pour son signataire.
Je suis sincèrement désolé de l’émoi causé jusqu’au fin fond du Kamtchatka et je suis heureux de saisir cette occasion inespérée de rétablir les faits, refusant par là-même et avec véhémence, d’endosser la paternité du pesant salmigondis de paradigmes dont il est question.
En effet, la vérité travestie va bientôt apparaître dans son plus simple appareil.
LUMIERE !!!
Deux individus cagoulés ont fait irruption dans ma tente, m’ont bâillonné et menotté à rebours dans la baignoire, couvert la tête d’un sac non recyclable et m’ont obligé à taper ce pensum à l’aide d’un coton-tige coincé entre les dents.
Quart d’heure de folie des défenseurs du "franciquement … ??… françaisement" correct ?
Ou bien blog-boosters excédés par le ronron affligeant d’un rédacteur égocentrique avançant à pas de tortue ?
Sous la menace d’une tarte à la crème, j’ai mis le turbo à fond, évitant soigneusement les palindromes savants et autres borborygmes douteux, avant d’être sauvé in extremis par la lourde chute d’un dahu imprudent tentant un demi-tour suicidaire sur un cornichon au bacon … euh … une corniche de balcon.
Le dahu n’étant pas protégé, je l’ai fait empailler. Il est visible au Musée Historique de Mulhouse. Entrée libre sur présentation de ce billet.
Aux Dernières Nouvelles (et dans l’Alsace d’après-demain), les pirates courent toujours !
Hubert
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